dimanche 22 juillet 2012

Un an

Ce matin, j'aurais tant aimé voir Alice courir dans les ruelles, grisée d'une lumière de mai. Après quel chapelier fou ?
Un an. Tout est intact.

4 commentaires:

  1. Au pays des merveilles de Juliette....
    Je t'embrasse.

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  2. Notre paysage affectif, au fur et à mesure que l'on "grandit", ressemble de plus en plus à un cimetière...
    Seules les fleurs de notre souvenir intact rend encore palpitants ces souffles aimés. Continuons à aimer.
    Embrasse Alice de ma part, s'il te plaît.

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